Anna GAVALDA : La consolante
Après la première manche, la seconde, puis la troisième, après la revanche et la belle, quand le vainqueur est connu et que c’est sans appel, alors, quand on on aime jouer, on se fait une dernière partie, juste pour le fun, sans enjeu, pour le plaisir de prolonger l’instant : c’est la consolante. Voici donc une chose que j’ai apprise dans ce livre. Et tant d’autres… J’ai déjà eu l’occasion de l’avouer : j’assume mon coté midinette. C’est certainement la raison qui fait que je suis super fan de cette auteur (malheureusement assez peu prolixe). J’ai déjà eu l’occasion de vous parler des deux romans que j’ai lus d’elle (« Je l’aimais » et « Ensemble, c’est tout« ), et de son recueil de nouvelles (« Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part« ). Je fais tomber le suspense tout de suite : « La consolante » reste dans cette lignée de succès, et tient toute ses promesses. Il y a une constante dans les romans de cette écrivaine : le début...