Un de mes rêves devient impossible…

Ceux qui me connaissent le savent, si je ne devais choisir qu’un album pour l’emmener sur une île déserte, ça serait un album de Mike Oldfield. Parmi ses œuvres, mon choix porterait probablement sur Amarok (à écouter ici pour les plus fous d’entre vous), qui arrive premier de mon top quatre d’une courte tête devant le célèbrissime Tubular Bells, l’envoutant Incantations, et l’addictif et tribal Ommadawn.

Or, les durant les premières tournées du Maestro (fin 1970/début 1980), la partie 1 d’Ommadawn (qui se termine sur un long passage de percussions tribales) a été frappé aux percussions par deux génies du genre : l’alsacien Pierre Moerlen et Morris Pert.

Malheureusement, Pierre Moerlen est décédé en 2005, et je viens d’apprendre que Morris Pert l’a rejoint la semaine dernière. Un de mes rêves, qui était que Mike Oldfield réenregistre une version moderne d’Ommadawn avec ses deux maîtres du rythme s’est ainsi définitivement éteint.

En hommage, voici une vidéo (rip de mauvaise qualité d’une VHS) du concert de Knebworth avec Pierre Moerlen (passez les trois premières minutes si vous voulez aller directement aux percus) :

Et une vidéo du concert de Montreux avec Morris Pert :

download Fond musical : Mike Oldfield – Ommadawn, Partie 1 : Version originale, composée et interprétée intégralement par Oldfield en 1975 (agé alors de 22 ans)

Commentaire

Un de mes rêves devient impossible… — 3 commentaires

  1. je découvre le son… envoutant !… je vais m’y intéresser d’un peu plus près parce que j’aime bien

  2. Ce WE, j’ai fait 1500km de camionnette solo (entre Toulouse et le Jura), j’en ai profité pour me refaire Discovery (album qui m’a fait découvrir Mike Oldfield), Ommadawn et Amarok.
    Je suis d’accord avec toi, Amarok est vraiment le top du top. Il m’a fallu pas mal de temps pour l’apprivoiser (il est assez déconcertant au premier abord) mais maintenant, j’adore tous les bruits divers (feux d’artifices, pas, verre brisé, aspirateur, …) qui émaillent le morceau.
    Et réécoutant Ommadawn, je me suis demandé ce qu’aurait été cet album si Mike Oldfield n’avait pas été prisonnier du format vinyle…

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