Que ma joie demeure…
Sérieux, que peut-il bien se passer dans la tête d’un artiste pour en venir à écrire un spectacle — qui se veut comique — en racontant une journée de Jean-Sébastien Bach ? Je ne sais vraiment pas quelle est cette démarche intellectuelle (il paraît que ça vient tout seul chez les artistes), mais… ça marche !!! Bref, j’étais mardi dernier dans la salle de l’Hôtel de Ville de Sarreguemines pour assister au spectacle (joué à guichet fermé) d’Alexandre Astier « Que ma joie demeure ». Et franchement, au bout de deux minutes, j’étais déjà plié en deux avec les larmes aux yeux… et ça a duré 1h50. D’accord, étant fan de l’humour de l’artiste (découvert dans Kaamelott), on pourrait me taxer de partialité (et je ne pourrais vous donner tord). Mais à entendre la salle rire de bon coeur, soit celle-ci était composée exclusivement de fans, soit Alexandre Astier est bel et bien un génie. L’idée ? [Ndr : si vous avez pour intention d’aller voir le spectacle,...