Étiqueté : gadget

En ce jour de lapin…

En terme de calendrier républicain, nous sommes aujourd’hui le quintidi 15 nivôse de l’an 220, jour de… lapin. Coïncidence : le père noël vient de me livrer (en très léger différé) un sympathique cadeau, un… lapin. Mais pas un lapin ordinaire, qu’il faudrait nourrir et soigner tous les jours, et qui ferait ses crottes partout. Non non, un lapin technologique, le p’tit fillot du Nabaztag, j’ai nommé monsieur Karotz. Physiquement, monsieur Karotz ressemble beaucoup à son papa. Alors, quoi de neuf docteur ? Première différence : son nombril n’est plus un microphone, mais une webcam (le micro étant passé juste derrière la tête). D’une résolution de 640×480, même si les couleurs ne sont pas top en éclairage artificiel, ça permet tout de même de prendre des photos d’ambiance. Seconde différence (invisible à l’œil nu) : alors que son ancêtre ne travaillait que grâce aux serveurs de son concepteur (la société Violet), Karotz permet de faire tourner des applications embarquées dans sa petite mémoire de...

Twitter: gadget utile ou futile ?

Voilà quelques temps que j’avais ouvert un compte sur twitter. Avant toute chose, pour ceux qui ne connaissent pas, petite séance de rattrapage. Pour faire simple, twitter est au blog ce que le SMS est à l’e-mail. C’est un « microblog » où les articles ne dépassent pas 140 caractères (!!!). Autant dire que pour moi, fils de concierge ayant une réputation de bavard municipal à défendre, 140 caractères… Quel est l’intérêt me direz-vous ? Certains vous diront que ça a permis à des gens qui se sont inspirés journalistes de relater des événements dans des conditions difficiles (comme ça a été le cas pour les manifestations iraniennes). C’est vrai qu’avec des billets (on dit des tweets) de 140 caractères, pas besoin d’infrastructure lourde pour poster (un simple téléphone suffit). Maintenant, je trouve l’argument capillotracté : microblog ou pas, ça n’empêche pas de se poser la question de la censure, de l’intox, etc. De plus, quand un réseau est en panne, il l’est...