Migration vers Freemobile : nickel chrome pile poil, RAS
Attiré par les sirènes du tout illimité sur mon mobile pour moins de 20 €, et rancunier d’opérateurs qui, même s’ils s’alignent maintenant, ont fait vivre grassement pas mal d’actionnaires pendant des années, je fais partie de ceux qui ont très vite répondu aux sirènes de #freemobile. Avec un risque j’en conviens. J’ai été parmi les premiers à quitter la raie manta d’Orange (pardon, de feu France Telecom) pour la Freebox v2 grosse comme un magnétoscope VHS. Aussi ais-je pu connaître les joies du dégroupage, avec trois semaines sans Internet ni téléphone, les procédures de retour SAV rocambolesques précédées de l’instant où il fallait emprunter l’alimentation du voisin pour vérifier que le problème venait bien de la box. Ou les périodes de solitudes quand, après un déménagement, les identifiant de sa ligne chez Free ne correspondent pas à ceux de chez Orange. Mais pour autant, grâce à ce pari, avouons que je suis passé d’un 29 € mensuels pour 512...