Whatever works
Boris Yellnikoff est un sexagénaire présenté dans le pitch comme un génie (personnellement, je ne le trouve pas si génial que ça dans certaines réflexions, mais bon, ça doit être parce que je suis bien plus génial que lui 😉 ), professeur émérite de physique (il enseignait la théorie des cordes… bon d’accord, il était plus génial que moi car ça, je ne pourrais pas le faire 😉 ). Mais il est passé à coté du prix Nobel (ouai ben moi aussi hein), a loupé son mariage, et son suicide. Woody Allen tente de le présenter comme un misanthrope. Seulement voilà : il est finalement réaliste et m’apparaît comme un grand hédoniste, ce qui fait qu’il n’est pas crédible deux secondes dans ce rôle (ou alors, c’est peut-être que je suis moi-même misanthrope, ce qui est tout à fait possible finalement). Melody Saint Ann Celestine (il paraît que ça fait français comme nom), 2 de QI, a quitté sa cambrousse...


