Aujourd’hui, j’applique la politique de la chaise vide
Petit rappel rapide sur la situation électorale de ma régions (ACAL ?) : au premier tour des régionales, moins de 50% de votants, et parmi les 48% qui se sont déplacés, plus d’un tiers (36%) ont voté FN, 26% pour l’union de la droite autour des républicains, et 16% pour l’union de la gauche autour du PS (les autres partis faisant moins de 10%). Après ça, si vraiment l’épouvantail FN était si dangereux que ça, le PS aurait dû « passer » (comme on dit au poker), et peut-être que j’aurais écouté les pourfendeurs du « front républicain », et que je serais allé voter à droite pour barrer les extrémistes, comme je l’ai fait (un peu la mort dans l’âme) en 2002 (même si je n’ai pas eu à le regretter pour ce qui est de la politique internationale). Et bien pourtant… non ! Jean-Pierre Masseret (honte à lui) se sent tellement indispensable à la région (qui n’a, rappelons-le, que très peu de pouvoir) ne se...