À peine la dernière version stable d’Ubuntu sortie (la 9.10 nommée « Karmic Koala ») que j’ai voulu la tester sur mon netbook Acer Aspire One A110-Ab. Avant tout, les « bonnes » surprises : on y trouve [enfin] les dernières version de OpenOffice (ça n’était pas le cas pour la 8.10) et de Firefox (ça n’était pas le cas pour la 9.04), et les périphériques de mon petit netbook sont [enfin] quasiment tous reconnus de base sans rien faire. Pourquoi ce « quasiment » dans ma dernière phrase ? Et bien coté carte son, carte graphique, webcam (faites un « $ sudo apt-get install cheese » pour vous amuser), et même wifi, tout fonctionne sans rien toucher (yesss !!!). En fait, il ne reste plus que deux ou trois bidouilles à faire pour que le système fonctionne de façon optimale : 1) les deux lecteurs de carte SD : cette fois-ci, le pilote du contrôleur de carte SD est compilé de base dans le noyau (un kernel 2.6.31-14). Mais seul le lecteur...
De retour de Dijon, voici quelques clichés pour vous faire [un peu] découvrir le centre de cette ville. Bonne visite… Fond musical : Craig Armstrong – Weather Storm [audio:http://emmanuel.desvigne.free.fr/mp3/Craig_Armstrong-Weather_Storm.mp3|titles=Weather Storm|artists=Craig Armstrong]
Histoire de faire un peu de concurrence à Christelle qui est très prolifique ces derniers temps, voici de quoi faire plaisir à vos papilles (et vous aider à affronter le froid qui arrive) : un bon p’tit Kouglof au lard. Pour ce, il vous faut : 300 g. de farine 1 œuf 25 g. de levure de boulanger 30 g. de sucre 3 cuillères à soupe de lait 70 g. de beurre 300 g. de lardons 75 g. de gruyère râpé 50 g. de pignons de pin (ou de noix) Mélangez : la farine, la levure délayée dans 3 cuillères à soupe de lait tiède, l’œuf, le sucre, et 1/2 cuillère à café de sel (oui je sais, c’est pas dans la liste ci-dessus, mais vous avez bien du sel chez vous non ? 😉 ). Travaillez la pâte 15 minutes (ça fait un peu sablé, c’est normal). Incorporez le beurre fondu, les lardons dorés (une fois devenus...
Je vois pas mal de billets sur des thèmes un peu humanistes ces derniers temps. Je ne poste pas spécialement de commentaire sur chacun d’entre eux. Pour autant, j’avais envie d’attirer votre attention sur deux p’tites causes qui, pour le coup, ne vous coûteraient pas grand chose. La première m’est inspirée par l’établissement où je travaille : il s’agit d’Octobre Rose. Non non, il ne s’agit pas d’un nouveau film avec la poursuite d’un sous-marin nucléaire transportant l’équipe du Paris Football Gay, mais d’une opération visant à promouvoir le dépistage du cancer du sein (cliquez sur l’image pour avoir le programme des événements liés à cette actualité). D’accord, on me dira que les messieurs ne devraient pas se sentir concernés ; et bien si tout de même ! Ensuite, je n’aurais peut-être pas écrit un billet spécifique sur ce sujet, mais comme l’occasion m’en est donnée, voilà bien une autre bonne action qui ne coûte vraiment rien, et qui concerne le dont...
Et non… GPA n’est pas le dernier jeu à la mode sur Wii ou PS3. Ça signifie gestation pour autrui, appellation supposée plus esthétique que mère porteuse. C’est en lisant le billet consacré à ce thème sur Rhapsodie que je me suis souvenu d’un adage que m’a dit une fois un grand ami : « Dès qu’une technique est inventée, quoi qu’on fasse, elle sera utilisée. Une technique n’est en soi ni bien, ni mal. C’est ce qu’on en fait qui peut la rendre bonne ou mauvaise. Si on tente de l’interdire, il est probable qu’elle sera pratiquée sous le manteau, ou ailleurs. Dans des conditions non contrôlées. Et si cette technique touche à l’Homme, tous les dérapages sont alors possibles. Aussi, quand une nouvelle technique apparaît, si elle peut s’avérer dangereuse, plutôt que de l’interdire, mieux vaut l’encadrer pour s’assurer qu’on n’en sorte que le meilleur ». Rappelons qu’en France, cette technique d’AMP (aide médicale à la procréation) qui consiste à...
Le cœur ou… la raison. Tel est le sous-titre (bien senti) de ce roman. Sophie organise des défilés pour une maison de couture. Elle est mariée à David, qu’elle aime et qui l’aime. Une vie douce, sans heurt. Elle est entourée de ses « inséparables » (Diane, Audrey, et Max), trois amis et confidents sans qui elle ne fait rien. Tout semble donc aller pour le mieux dans le meilleur des mondes sauf que… et bien voilà. Elle va tomber amoureuse d’un bel Italien. Au point d’être prête à tout plaquer pour lui. Mais lui prend peur (le croit-elle), et refuse cette vie. Fin de l’histoire. Pour un temps seulement. Cette idylle reprendra de plus belle, offrant à Sophie ce bol d’oxygène dont elle a besoin pour supporter sa vie. Cette alternance de « rompons – et ça recommence » se reproduira plusieurs fois. Et malgré tout, les vies de chacun continuent (Sophie aura un enfant, une fille, qu’elle découvrira malade ; lui sortira avec...
Il y a quelques mois, miss Tatie Céline m’avait offert trois Fred Vargas, que j’ai dévorés cet été sur la plage. Je n’ai pas pris le temps de vous en parler en revenant. Alors, petite séance de rattrapage. Il s’agit de : Pars vite et reviens tard, Sous les vents de Neptune, Dans les bois éternels. Pour ceux qui ne connaissent pas (et qui n’avaient pas lu mon ancienne critique sur « L’homme aux cercles bleus »), Fred Vargas écrit des romans policiers mettant en scène le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg. Cet officier est à la police ce qu’Eve Angeli est à la physique quantique. Enfin… en apparence seulement. Il ne semble avoir aucune méthode, ne suit aucune logique (il y est allergique d’ailleurs), il est sensible, zen, rêveur… et ça marche. Appelez ça sixième sens, intuition, coup de bol. Mais qu’importe : il résout les affaires. Son flaire tient peut-être dans le fait qu’il sait créer une alchimie en s’entourant des bonnes personnes....
Voici un livre qui est un vrai alien dans la bibliosphère. Il s’agit d’une autobiographie fictive d’un jeune autiste. Dit comme ça, ça n’est pas super bandant, et on se dit qu’on va passer un moment chiant et intello. Pas du tout !!! Revenez ! En fait, le mot autiste est écrit nul part dans le livre (et encore moins les mots syndrôme d’Asperger dont il est certainement question). On rentre dans ce roman sans vraiment savoir à quoi s’attendre, sinon ce qu’on lit en quatrième de couverture : Christopher John Francis Boone a 15 ans, et il vit chez son père (sa maman est morte d’une crise cardiaque) dans la petite ville de Swindon située au nord de Londres. Il est assez génial : il vous explique aisément le crible d’Ératosthène pour trouver les nombres premiers (toute ma jeunesse 😉 ), tente même de nous expliquer le problème de Monty Hall (auquel se heurte toujours mon esprit buté, mais...
Et bien… Drôle de coïncidence hein ? Voilà qu’hier, je vous parle des pieds, et aujourd’hui, que fait mon grand en glissant d’une structure de jeu ? Et oui… Double fracture du pied droit (2ème et 3ème métatarsien pour les connaisseurs). Heureusement que je ne crois pas aux prémonitions 😉 Fond musical : Gloria Estefan – Get on your feet [audio:http://emmanuel.desvigne.free.fr/mp3/Gloria_Estefan-Get_on_your_feet.mp3|titles=Get on your feet|artists=Gloria Estefan]